
L'ouvrage présente une synthèse des connaissances sur l’église de Saint-Sauveur-du-Marché, des origines à nos jours. Les auteurs consacrent notamment une partie aux peintures murales des voutes de la nef exécutées à la Renaissance.

Sylvie ANDREU, "Envie de villes", Edition Magellan.
Lors de son émission sur France Culture en 2011, Sylvie Andreu a interrogé des photographes, des poètes, des architectes sur les villes qui leur tiennent à cœur. Ce petit ouvrage reprend les vingt-cinq chroniques, cinq par continent, dans lesquelles ils racontent leurs premières impressions, leurs souvenirs et les images qu'ils ont ramenés.
Régine ROBIN, "Mégapolis, les derniers pas du flâneur", Stock.
Infatigable et passionnée, l'auteur traverse, parcourt, s'attarde dans les grandes villes. Dans ses déambulations, tout la fascine, l’authentique et le toc, les néons ou la lumière d’un couchant, le monumental comme l’atmosphère d’un coin de rue, la mélancolie d’un quartier déglingué et les rubans enchevêtrés des échangeurs routiers. Elle nous entraîne ainsi de Tokyo à New York en passant par Londres, Los Angeles et Buenos Aires.

"Je suis, avant tout, un flâneur sociologique. Je propose ici des balades, aussi bien dans l'histoire que dans l'espace urbain, dans le discours social que dans la littérature. Flâneries mi-théoriques, mi-descriptives, déambulations dans mes lectures et mes lieux, dans Berlin".
"Le Goût de ", Mercure de France.

Un architecte n’est pas un artiste, mais l’architecture, elle, peut s’apparenter à un travail d’auteur ; un travail qui doit formaliser dans une vision singulière les attentes et les aspirations d’une époque. L’architecte doit construire une œuvre en prise avec le réel et celui-ci est devenu d’une extraordinaire complexité au cours du XXe siècle.

L'auteur propose un étonnant parcours à travers des réalisations urbaines récentes qui permettent de rêver à une autre ville : des maisons de retraite autogérées, des béguinages remis au goût du jour, des immeubles construits directement par des familles qui se sont regroupées, des fermes urbaines sur le toit des immeubles...

Quand on va au MacDo, a-t-on bien conscience de faire la queue pour contraindre le personnel à travailler plus vite? Que les cuisines ouvertes permettent aux clients d'assurer la surveillance ? En se promenant dans des lieux apparemment banals, il est possible de décrypter les mises en scène, d'observer les usages que l'organisation des espaces encourage ou interdit, décoder les incitations à se comporter de telle ou telle façon.

Il y a un Paris de la mode, des beaux-quartiers, des affaires, un Paris populaire, un Paris noctambule. Et il y a aussi un Paris des familles, vécu par les mères, les pères et leurs enfants, dont la cartographie est parsemée de jardins publics, de crèches et d’écoles. C’est à l’exploration de ce Paris familial qu’invite cette grande enquête qualitative.